vendredi 30 mars 2007
Sondage IFOP du 30/03/07: François Bayrou Président, quel que soit son adversaire politique au second tour
Au second tour, les jeunes qui votent pour la première fois choisissent massivement François Bayrou comme Président.
Il écrase littéralement Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy au deuxième tour.
Bayrou-Royal: 61% - 39%
Bayrou- Sarkozy: 58% - 42 %
Royal - Sarkozy: 50% - 50%
http://2007.fr.msn.com/SondagePerso.aspx?key=Francois_Bayrou_President_quel_que_soit_son_advers
Les policiers se plaignent d'une dégradation des rapports avec la population depuis 5 ans
5091 policiers ont accepté de répondre aux questions du Syndical général de police-Force ouvrière (SGP-FO) : un record. Diffusé dans le journal du syndicat auprès de ses 15 000 adhérents, le succès du sondage a étonné ses instigateurs : « d'habitude, quand on lance ce genre d'enquête, on a au maximum 1000 réponses. ». Peut-être le signe que le malaise est profond ? Dans les 12 réponses aux questions du formulaire se reflète le visage d'une corporation désabusée. Des réponses qui éclairent d'un jour nouveau les heurts de ces derniers jours, à la sortie des écoles, rue Rampal ou à Belleville, ou encore à la Gare du Nord. « Pensez-vous que les rapports avec la population se sont améliorés depuis 5 ans ? » Les policiers répondent « non » à 73, 69 % ! « Pensez-vous que les rapports avec la jeunesse se sont améliorés depuis 5 ans en particulier depuis la crise du CPE ? » « Non » encore, et cette fois-ci à… 88,93 % ! Au syndicat, on pointe la « culture du résultat » qui prédomine depuis 2002, et le « tout répressif ». Des directives politiques qui poussent au clash avec la population, comme l'a montré l'actualité récente. Dernier camouflet au candidat Sarkozy : à la question « la très forte médiatisation du ministre de l'Intérieur depuis 5 ans vous semble-t-elle utile à la profession ? », c'est encore « non » pour 48,06% des sondés, et « sans opinion » pour 20,78% d'entre eux. Un « sans opinion » qui en dit long sur une profession pourtant fière de son métier. 65,41% d'entre eux pensent que la police est « un métier d'avenir »… et pourtant, paradoxe : 59,17% ne conseilleraient pas à leurs enfants de s'engager dans cette voie.
jeudi 29 mars 2007
François Bayrou ne touchera pas à la fiscalité de l'assurance-vie
"Nous ne modifierons pas la fiscalité de l'assurance-vie, ni celle des autres produits d'épargne d'ailleurs. Et, en supposant même que nous soyons amenés à le faire, les modifications ne seraient pas rétroactives et ne s'appliqueraient donc pas aux contrats existants", précise aux échos.fr, Charles de Courson, député UDF de la Marne, secrétaire de la commission des Finances à l'Assemblée Nationale et conseiller de François Bayrou pour les questions économiques et fiscales.
mercredi 28 mars 2007
NS et SR d'accord pour être en désaccord
Au fond, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal veulent tous les deux perpétuer ces vingt-six années-là. Ils représentent deux dangers : le premier « antagonise » les Français, il attise les tensions, la seconde est si erratique que cela fait peur. On voit aujourd'hui éclater au grand jour leur entente. Compère et Commère veulent que, surtout, rien ne change. Ils ont les mêmes thèmes, les mêmes mots. Ils vont même se mettre d'accord pour être en désaccord. Pour être assurés au moins d'une chose, que le pouvoir se joue entre eux.
mardi 27 mars 2007
L'obsession nationaliste
« Peut-être que je suis libertaire, mais cela ne ressemble pas à l'idée que je me fais de la démocratie. En tout cas, si je suis président de la République, je ne ferai pas de circulaires pour expliquer aux Français comment aimer la France », a déclaré le président de l'UDF. « Tout cela donne le sentiment que les idées de Le Pen envahissent l'esprit des deux candidats. J'ai vraiment l'impression que l'un et l'autre ont un problème avec la question de l'immigration », a ajouté Bayrou, assurant qu'il ferait son possible pour que la campagne électorale « ne dérape pas sur les thèmes de l'immigration et de l'identité nationale ».
Nicolas Sarkozy et Ségoléne Royale se sont lancés dans « une course-poursuite » sur l'identité nationale, qui « n'est pas la question de la présidentielle ». « La nation a des problèmes, mais la nation n'est pas un problème », a dit François Bayrou au « Forum Radio J ». « Je ne participerai pas à cette course-poursuite dont on sait où elle commence et dont on devrait savoir aussi où elle peut aller », a-t-il ajouté.
lundi 26 mars 2007
Goulard, deuxième ministre à se ranger derrière Bayrou
François Goulard, ministre délégué à l'Enseignement supérieur, a apporté son soutien à François Bayrou, candidat UDF à la présidentielle. "J'ai décidé de soutenir François Bayrou", qui présente "le seul programme sérieux", a déclaré sur RTL ce proche de Dominique de Villepin. Membre de l'UMP, François Goulard est le deuxième ministre, après Azouz Begag, à se ranger derrière François Bayrou.
"J'ai regardé les programmes (...) Le seul programme sérieux, qui échappe à la démagogie, qui n'ait pas ouvert la boutique aux cadeaux, promesses en libre-service, le seul qui ne désigne pas l'euro comme bouc émissaire (...), le seul qui prend les électeurs au sérieux, c'est François Bayrou", a-t-il expliqué. François Goulard a souligné également "un besoin de moderniser la politique", la nécessité "d'aller vers des logiques de projets". "La démarche de François Bayrou me paraît utile aujourd'hui et moderne", a-t-il ajouté.
Selon lui, ni Nicolas Sarkozy, ni Ségolène Royal ne sont "des candidats de rassemblement". M. Goulard, qui s'est toujours montré très critique à l'égard de Nicolas Sarkozy et a longtemps soutenu l'idée d'une candidature Villepin à la présidentielle, a estimé que "le score de François Bayrou dans les sondages est une indication très forte que beaucoup de Français ont envie de changement".
Il existe d'immenses marges de progrès qui ne coûtent pas d'argent
Il a relevé à ce titre que la suggestion d'ouvrir les administrations le samedi matin pour permettre à des dirigeants de régler leurs problèmes d'ordre administratif est "excellente".
"Au lieu de considérer que l'administration n'a qu'un rôle de contrôle et de sanction, je voudrais qu'elle fasse du conseil"... déclare par ailleurs François Bayrou, qui veut "faire de la France un pays pro-entreprise". Il faut "convertir la société française au partenariat, à la reconnaissance d'une double légitimité, celle de l'Etat et celle de la société civile". "C'est dans ce partenariat, et notamment dans la reconnaissance d'un droit de saisine sur tout ce qui ne marche pas, que l'on trouvera des marges de progrès infinis, sans augmenter les prélèvements obligatoires. Persuadé qu'il faut avoir une relation de confiance et de coresponsabilité avec les syndicats, il souligne que "l'Etat ne doit pas tout régler. A lui de fixer les grands principes, et pour le reste, qu'il fasse confiance aux organisations de salariés et d'entreprises!", ajoute François Bayrou.
NS taclé par un représentant de la Grande-Bretagne
dimanche 25 mars 2007
L'équipe UDF présente sur le marché des terrasses à Orly
J.-J. Jégou : "François Bayrou attire à lui des socialistes et des UMP !"
Retrouvez les grands moments de cet entretien.
Tableau de bord politique
Je reprends ici l'analyse de l'IFOP (Tous droits réservés).
Avec 88% (-1 point) de bonnes opinions, Nicolas Hulot conserve la tête du classement des personnalités.
Alors que son mandat au Conseil constitutionnel s'est achevé et qu'elle va bientôt prendre une part active de soutien à la candidature de Nicolas Sarkozy, Simone Veil, nouvellement testée dans le cadre du tableau de bord politique, se positionne directement à la deuxième place du classement avec 79% de bonnes opinions.
François Bayrou conserve la troisième place du classement (malgré l'arrivée de Simone Veil) et obtient 75% de bonnes opinions. En gagnant 8 points par rapport à la vague d'enquête précédente, François Bayrou conforte sa position de leader en termes de popularité parmi les prétendants à l'Elysée. Au total, en deux mois, le président de l'UDF a gagné 15 points et il devance à présent Nicolas Sarkozy de 17 points et Ségolène Royal de 20 points. La popularité du candidat centriste progresse tant à gauche (71% de bonnes opinion, +7 points) qu'à droite (79%, +9 points). François Bayrou enregistre ainsi le plus haut niveau de popularité mesuré parmi les candidats à l'élection présidentielle depuis la création du baromètre Ifop / Paris Match.
L'arrivée de Simone Veil dans le classement des personnalités et la progression de François Bayrou expliquent que Bernard Kouchner (74% de bonnes opinions, -3 points) quitte le trio de tête.
Après les fortes baisses mesurées en janvier et février, Ségolène Royal ne parvient pas à regagner le terrain perdu. Elle se positionne désormais à la quinzième place du classement avec 55% de bonnes opinions (-1 point). La structure des soutiens à la candidate socialiste n'évolue guère mais on note que sa popularité continue de s'effriter parmi les proches du PS (86% de bonnes opinions, -3 points) et ceux de l'UDF (40%, -4 points). Nicolas Sarkozy (58%, +1 point) conforte son avance sur la députée des Deux-Sèvres et conserve la onzième place du classement.
D'autres personnalités de gauche subissent un tassement de leur popularité. Parmi les plus significatives, soulignons celle de Jack Lang qui perd 5 points et se situe à présent à 56% de bonnes opinions. Notons également le reflux de la popularité de Dominique Voynet qui chute à 45% de bonnes opinions et voit sa progression constatée en février totalement annulée.
D'autres candidats à l'élection présidentielle connaissent un sort plus favorable. Ainsi, à la gauche du PS, Arlette Laguiller progresse nettement, passant de la quinzième à la huitième place, avec 60% de bonnes opinions (+8 points). La candidate de Lutte Ouvrière apparaît désormais comme la candidate antilibérale la plus populaire.
Enfin, à l'extrême droite, Jean-Marie Le Pen enregistre une progression importante de ses soutiens et atteint son plus niveau de popularité depuis la création du tableau de bord politique : 31% des Français ont désormais une bonne opinion du leader frontiste (+6 points). Notons que ce taux monte à 37% parmi les proches de l'UMP. Marine Le Pen progresse également (29%, +4 points).
samedi 24 mars 2007
Vu de Belgique, les médias français ont tous rallié Nicolas Sarkozy. Par connivence ou par calcul
Le numéro 854 de Courrier International publie un long article, publié par Le Journal Du Mardi sous la plume de Léon Michaux, sur les relations Médias-NS, dont je vous livre l'intégralité.
(Copyright Courrier international et Le Journal Du Mardi)
Les Français ne s'en rendent peut-être plus compte tellement ils ont le nez dedans, mais vue d'ici la manière dont la quasi-totalité des médias s'est rangée en ordre de bataille derrière Sarkozy est proprement sidérante. Ce type peut dire tout et son contraire sans que personne ou presque ne s'en émeuve, de même qu'est notée comme anecdotique l'incroyable posture qui consiste en tant que ministre de l'Intérieur à organiser une élection à laquelle on se présente.
De plus, question conneries, Sarkozy se permet tout et effrontément sans que quiconque relève la supercherie : plus c'est gros, mieux ça passe. Un exemple : dans la seule émission deTF1 du 5 février, il assène que la moitié des salariés français gagnent le SMIC ; vérification faite, ils sont 17 %. Il parle du baril de pétrole qui aurait atteint 90 $ alors qu'en réalité il n'a jamais dépassé les 78 $ ; puis, emballé par sa démonstration, il évoque ces temps affreux où l'inflation, en France, était à 24 %. Depuis que les statistiques existent, le pic le plus élevé indique 14 %. Tout faux, donc, et plus grave que la "bravitude" lâchée par Ségolène Royal. Mais peu importe, c'est elle qui est conne. D'ailleurs, une femme, hein…
Comment expliquer cet alignement ? Eh bien, c'est une belle histoire d'amitié entamée en1983, et cultivée et arrosée sans relâche depuis. Patiemment, le déjà futur président de la République s'est fait pote avec ceux qui dirigent les entreprises de presse et les journalistes qui vont avec : Martin Bouygues (TF1), Serge Dassault (Le Figaro, L'Express, L'Expansion et des cadors de la presse régionale), Arnaud Lagardère (Paris-Match, Le Journal du dimanche, etc.), Alain Minc (président du conseil de surveillance du Monde), François Pinault (Le Point) et le milliardaire Bernard Arnault, très présent dans la presse économique.
J'en passe. Du beau linge. Tous de droite. Est-ce à dire que tous les journalistes de ces organes de presse roulent sciemment pour Sarkozy ? Evidemment non, mais comment aller à l'encontre de la ligne éditoriale de son patron sans risquer sa tête – comme Alain Genestar (pas vraiment un gauchiste), le boss de Paris-Match, viré pour avoir publié des photos de Cécilia Sarkozy et de son amant ?
Et puis, dans le fond, il est plus facile de se glisser dans le courant dominant que de ramer à contre-courant. Puisque les jeux sont faits, nous dit-on, pourquoi passer pour le ringard de service ? Je vous le demande. Tous les journalistes ne sont pas des héros.
Cette presse bien-pensante court pourtant un double risque : écoeurer les électeurs et une fois de plus leur donner l'impression qu'ils n'ont pas le choix, que l'affaire est pliée. Sans remonter jusqu'à Balladur en 1995 qui allait triompher les doigts dans les narines, c'était cousu, rappelons-nous le référendum de 2005 sur la Constitution européenne. L'immense majorité des médias militaient pour le oui, et c'est tout juste si on ne traitait pas d'inciviques ou de traîtres à la patrie les Français qui trouvaient le gâteau indigeste. Cette année-là, le mépris des élites auto-proclamées fut tel qu'elles se trouvèrent fort dépourvues lorsque le non fut venu.
Quoi qu'en pensent – et on s'en fout un peu – les Glucksmann, Finkielkraut, Gallo, Hanin et autres retourneurs de veste, Sarkozy traîne dans son sillage agité un bric-à-brac de brutalité,de démagogie et d'arrivisme aux relents berlusconiens. Que la presse béate à sa botte continue à confondre journalisme et stratégie de communication, et elle en dégoûtera les Français.
Pas trop tôt, j'espère. Pile poil au deuxième tour. Sans Le Pen.
Léon Michaux
Le Journal du mardi
jeudi 22 mars 2007
mercredi 21 mars 2007
Rupture NON, Héritage OUI
Copme l'a dit Maurice LEROY, J. Chirac "vient très clairement de démentir la campagne de rupture dont parle" le candidat de l'UMP. "Il y avait le retour des éléphants au Parti socialiste. Cette fois, ce sont les mammouths de l'UMP", a ironisé le député centriste.
Quel immobilisme !
Un blog UMP de soutien à F. BAYROU
Dans l'actualité très récente, il évoque, en particulier, le soutien de Jacqueline Eustache-Brinio, conseillière régionale UMP d'Ile de France et maire de St Gratien (95) à François BAYROU plutôt qu'à NS.
Pour une retraite équitable, durable et soutenable
Lors d'une conférence de presse, F. BAYROU a présenté son projet sur la question des retraités et des personnes âgées. Constant que la question était curieusement absente des débats, il articule sa réforme sur points :
réforme prenant en compte toutes les retraites (y compris les régimes spéciaux) et la pénibilité du travail,
instauration d'une retraite par points permettant à chacun de choisir l'âge de son départ à la retraite en fonction du niveau de sa pension,
incitation aux entreprises à garder les plus de 50 ans,
gestion du système par les partenaires sociaux (et non plus l'état),
politique de soutien à la naissance.
F. BAYROU propose, après discussion de la réforme avec les partenaires sociaux, les représentants des retraités, les organismes publics et privés de retraite, le Conseil Economique et Social, de soumettre celle-ci à référendum.
Il propose également une politique de prévention de la solitude et de la dépendance.
Encore une preuve de la cohérence et du réalisme du projet de François.
lundi 19 mars 2007
APRES-MIDI ORANGE AU RASSEMBLEMENT DE NICOLAS HULOT AU TROCADERO
Nous vous donnons rendez-vous le 1er avril à 16h30 au Trocadéro.
A 20 jours du 1er tour et 10 jours après le meeting du 21 au Zénith, nous
marquerons ainsi notre présence au rassemblement de Nicolas Hulot pour le
pacte écologique. Cette manifestation qui débutera à 17h durera une
demi-heure.
Il s'agira à cette occasion de symboliser l'engagement écologique de
Francois Bayrou (développement des énergies renouvelables, taxe
écologique...).
Pour que cette présence soit la plus visible possible, venez vêtus d'orange
(des tee-shirts UDF sont disponibles à l'adresse :
http://www.jeunes-udf.org/services/boutique.php ou auprès des Jeunes UDF).
Il est inutile d'amener des tracts ou des banderolles.
Nous vous rappelons que le site http://e-soutiens.bayrou.fr a été mis en
place afin de favoriser de telles initiatives. N'hésitez donc pas à y
intervenir.
Pour toutes informations complémentaires, contact :
forceorange@club-internet.fr
Nous comptons sur vous!
Au dimanche 1er avril !
P.S : n'hésitez pas à faire suivre ce message à toutes les personnes
concernées
Quand l'UMPS défend les idées de F. BAYROU
De son côté SR s'est prononcé en faveur d'une VIème république, idée que défend F. BAYROU depuis très longtemps. Cette maneuvre purement politique, Arnaud Montebourg s'en étant vanté en ces termes "Tous ceux qui étaient partis vers Bayrou veulent la crise de régime. Ça lui enlève le refus du système", laisse songeur : quelle vision de la République Française défend donc SR ?
vendredi 16 mars 2007
Azouz BEGAG soutient F. BAYROU
"Oui, c'est le seul candidat que je puisse soutenir. On verra les modalités de ce soutien dans quelques jours", a ajouté M. Begag sur France 2.
Azouz Begag est le premier membre du gouvernement à se prononcer en faveur du candidat UDF. Le gouvernement Villepin ne compte qu'un ministre UDF, Gilles de Robien, qui ne s'est pas encore prononcé pour la présidentielle mais qui conteste la stratégie de François Bayrou.
Azouz Begag avait déjà laissé entendre mardi qu'il soutiendrait le candidat UDF François Bayrou dans la campagne présidentielle.
"Cela fait 18 mois que je n'ai plus adressé la parole au ministre de l'Intérieur (Nicolas Sarkozy), tout simplement parce que j'ai osé le sacrilège de dire en novembre 2005 que ce n'était pas bien de prononcer des mots tels que +racaille+ et de vouloir nettoyer les banlieues au Kärcher", avait expliqué M. Begag, sur France-Info mardi.
"J'ai été extrêmement surpris de subir les foudres, en réaction, du ministre de l'Intérieur pendant toute cette période", avait-il ajouté.
F. BAYROU à Nice pour montrer la voie du rassemblement
Dernière minute : le PS n'a plus de candidat(e)
C'est à n'y plus rien comprendre. Pendant la primaire elle avait déjà pris de grandes distances, puis réuni tous les éléphants le 22 février dans son équipe de campagne en déclarant notamment : "tout le monde est rassemblé dans cette phase décisive de la campagne".
Et aujourd'hui machine arrière toute "C'est la nature de l'élection, il m'appartient d'être libre". Les électeurs du PS doivent avoir la migraine ce matin. Et, au fait, ils en pensent quoi les maires qui ont apporté leur parrainage à SR ? Ils en pensent quoi les militants qui distribuent les tracts, collent les affiches ?
En tout cas, moi je n'ai qu'une question : avec quelle majorité va-t-elle gouverner maintenant ? Il serait tellement indécent qu'on ne lui pose pas.
Petite visite sur le site de camapagne de Sarko
Et partout "JE" : Ce que je croie, ce que je vous propose, ma vie, mes valeurs, etc..
Pardon, Monsieur le Candidat, et nous ?
Eric Besson se livre
Celui qui était chargé du chiffrage du programme du PS ajoute « Jamais programme présidentiel, à gauche, n’a été inventé dans une telle imprécision, dans un tel secret. (…) Mon boulot, et celui du PS, ce n’était plus de construire mais de cacher cette réalité ».
Si ses propres partisans (cf Claude Allegre également) la jugent ainsi, il doit bien y avoir une raison.
Un gouvernement d'union
CQFD
jeudi 15 mars 2007
La politique sécuritaire de Sarko : du pur made in US
mercredi 14 mars 2007
C'est un projet qui parle d'espoir.
C'est cela la vraie rupture, celle qui nous conduira le plus sûrement vers le rayonnement du modèle républicain.
lundi 12 mars 2007
vendredi 9 mars 2007
Zoom sur le Small Business Act
Les différents médias relaient beaucoup en ce moment le concept de Small Business Act. De quoi s'agit-il exactement ?
La plupart des emplois sont aujourd'hui créés par les PME. pourtant elles sont souvent les grandes oubliées des programmes politiques. C'est pourquoi F. BAYROU propose de les remettre au centre de son programme économique en instaurant le Small Business Act, inspiré du cadre mis en place par les Etats-Unis depuis 1953. Il repose sur trois piliers :
- Simplification des procédures administratives, fiscales, juridiques et sociales pour permettre aux PME de se consacrer à leur coeur de métier,
- Protection, en particulier des jeunes entreprises : protection fiscale par une exception dégressive des premiers bénéfices et une progressivité de l'impôt permettant une tranche allégée à 18%. Protection active de la trésorerie également par une diminution réglementée des délais de paiement,
- Accès facilité aux marchés publics pour les PME auxquelles seraient réservés tous les marchés publics inférieurs à 50.000 Euros et 20% des marchés supérieurs.
Associée aux deux emplois sans charge (sauf 10% de cotisations retraites) pour toutes les entreprises, cette mesure sera génératrice d'une véritable croissance dans notre pays.
jeudi 8 mars 2007
Evolution des sondages
Au-delà des chiffres bruts des sondages, le plus révélateur sont sans aucun doute les courbes d'évolution (F. BAYROU en vert foncé).
(Merci au blog Chez Luc (brèves de comptoir)
Inquiétude au QG de Sarko
En synthèse, comme le dit un mebre de l'équipe de campagne, "on ressasse, on tourne en rond".
Et bien oui, à force de dire tout et son contraire, on revient au point de départ. Il va falloir qu'ils aient de l'imagination pour les six semaines de campagnes qui restent !
(D'après Le Monde du 09/03/2007)
M. Sondages du PS très inquiet
De leur côté, les élus socialistes font remonter de leurs circonscriptions la même inquiétude : une partie des électeurs de gauche affirme qu'ils choisiront d'abord de faire barrage à Nicolas Sarkozy. S'il leur apparaît que Mme Royal n'est plus le meilleur rempart contre lui, ils peuvent voter Bayrou et substituer ainsi le candidat UDF à la candidate PS.
(Daprès Le Monde du 09/03/2007)
Sarko engagé dans un impossible pari
Moyennant quoi son discours devient complètement confus, comme le montrent ces deux exemples :
- Dans le dossier Airbus, le 01 mars il estimait que "les Etats n'étaient pas les actionnaires industriels les mieux avisés" et le 05 mars il déclarait sereinement "le rôle de l'Etat est essentiel"...
- Adepte du libéralisme à tout crin, il se permet de critiquer les institutions européennes (la BCE en l'occurence), institution indépendante s'il en est.
Il est vrai que l'on peut s'attendre à tout de la part de quelqu'un qui veut faire passer le traité européen en force par ratification du parlement. Et les Français, ils ont encore droit à la parole ?
Café Débat à Choisy :
45 personnes étaient présentes mardi soir au Café de la Marine à Choisy pour un débat engagé sur le programme de Francois BAYROU.
En abordant les principaux sujets de société que sont le logement, la prise en charge des personnes en difficulté, les retraites, l'éducation, la dette, etc. les choisiens ont démontré une nouvelle fois leur ras le bol de la situation actuelle et leur désir de voir se mettre en place une autre approche de la vie citoyenne et de la gestion de la vie publique.
Vous trouverez bientôt ici une transcription détaillée de ce débat.
Nul doute qu'au vu de la qualité des questions et de leur importance, un nouveau point de rencontre sera prochainement organisé sur la circonscription.
En attendant nous remercions sincèrement les propriétaires du Café de la Marine pour leur accueil chaleureux et efficace.
lundi 5 mars 2007
Choisy-Le-Roi à fond derrière F. BAYROU
L'équipe locale de l'UDF présente ce dimanche matin sur le marché du centre à Choisy a rencontré un réel enthousiasme de la population :
- plus de trente adhésions au comité local de soutien,
- un fort engouement pour le café-débat de ce mardi,
- une véritable appropriation du programme de F. BAYROU et de la sincérité et de l'honnêteté de l'homme.
dimanche 4 mars 2007
Après la bravitude, le confusionnisme ?
L’ancien Premier ministre socialiste Fabius a appelé vendredi François BAYROU sur France Inter à «lever les ambiguïtés» pour éviter «le confusionnisme».
S'il vous plait, est-ce que quelqu'un peut expliquer à Mesdames et Messieurs les représentants du PS que la langue française comporte un ensemble fini de mots et qu'il y a d'autres moyens de passer à la postérité que d'en inventer un nouveau chaque semaine ? Merci beaucoup.
Mais, décidement, LF était très en forme ce vendredi. Je cite : "M. Bayrou dit avec moi tout est impossible, puisqu’il n’y a pas d’argent, il n’y a rien, etc. - et les gens s’exclament en disant quel courage!" : Monsieur Fabius, oui il n'y a plus d'argent dans les caisses de l'état et vous le savez parfaitement puisque pendant les deux mandatures du parti auquel vous appartenez, la dette de la France est passée de 110 à 657 Milliards d'Euros (soit de 22 à 55% du PIB) : excusez du peu. Savez-vous qu'à chaque seconde le simple service de l'intérêt de la dette représente 1.300 Euros, soit 640 Euros par an et par habitant ? Alors oui, définitivement oui, il n' y a plus d'argent. Mais Monsieur Fabius vous faites une erreur : F. BAYROU, et toute l'UDF avec lui, ne dit pas "tout est impossible", mais explique, avec beaucoup de courage et de justesse, qu'"il faut procéder différemment et sortir des schémas éculés mis en oeuvre depuis 30 ans" et , en particulier, il faut réduire au plus tôt cette dette pour diminuer le montant des intérêts.
Je ne sais pas, Monsieur Fabius, quelles sont vos relations avec votre banquier, mais, en ce qui me concerne, quand j'ai atteint me seuils maximaux d'endettement, il ferme le robinet et je dois vivre autrement : cela ne signifie pas que je saute par la fenêtre !
Allons gageons, Monsieur Fabius, que vous comprenez très bien tout cela : ayez juste le courage de le dire.
Même sur Second Life, NS n'est plus tranquille
(D'après Memoire-vive.org)
samedi 3 mars 2007
François BAYROU en faveur d'un moratoire sur les OGM
« A la veille de l’ouverture du Salon de l’agriculture, François Bayrou prouve qu’il écoute les Français, qui réclament à 86 % une interdiction des OGM », se réjouit Arnaud Apoteker, responsable de la campagne OGM de Greenpeace France.
vendredi 2 mars 2007
Le vote utile, c'est le vote Bayrou
Deux poids, deux mesures
Toutefois, si le service public se veut irréprochable, il est temps qu’il uniformise sa jurisprudence électorale.
Union Nationale et création d'un grand parti démocrate pour la France
L'intégalité de l'article est consultable sur ce lien.
Signe de l'intérêt pour F. BAYROU, cet article a recueilli plus de 100 réactions des lecteurs Internet du Monde en quelques heures
L'Express reprend l'essentiel de cet interview sur son site
F. BAYROU à Caen
Dans le même temps, Envoyé Spécial diffusait un document consacré à l'homme Bayrou : entre Brest, Clermont-Ferrand, Paris et Serres-Castelet, portrait d'un homme de terre, de valeur, de spontanéité soutenu par l'amour de sa femme Elisabeth.
Mais c'est quoi au fait la Quatrième République ?
Depuis quelques jours, l'UMPS, dans sa panique devant la montée de la vague F. BAYROU, n'a de cesse d'accuser celui-ci de vouloir réinstaurer la « Quatrième République ». Comme je n'ai pas eu le privilège de « faire l'ENA », je me suis trouvé désemparé devant ces références absconses et me suis donc un peu documenté. Formé après la Seconde Guerre mondiale, la Quatrième République instaure une représentation bicamérale :
une chambre basse, l'Assemblée Nationale, élue au suffrage universel direct et au scrutin proportionnel, vote les lois en première lecture,
Une chambre haute, le conseil de la république, ancêtre du Sénat actuel, élue au suffrage indirect (Par les Grands Electeurs et les Conseillers Généraux) ratifie les lois,
Le Président de la République, qui désigne le Président du Conseil, est élu par les 2 chambres.
Le texte de la constitution se verra transformé en un régime d'Assemblée
Cette république a de grandes réalisations à son compte :
l'extension du droit de vote aux femmes,
la signature du traité de Rome,
la fin de la colonisation en Indochine,
la reconstruction des infrastructures et de l'économie française après la guerre.
L'instabilité gouvernementale chronique, les combinaisons partisanes, l'impuissance du Parlement et l'incapacité des pouvoirs publics à résoudre le conflit algérien ont finalement eu raison de la Quatrième République le 03 juin 1958.
Mais quel est donc le rapport de tout cela avec la Sixième République proposée par BAYROU qui met en avant :
séparation des pouvoirs,
principe de responsabilité,
parlement représentatif,
députés à mandat unique.
NSR auraient-ils séché les cours de l'ENA ou bien ont-ils peur, dans ce cadre, de voir l'hégémonie de l'UMP et du PS s'effondrer ?
Allez un peu de patience et ils vont bientôt accuser François de vouloir rétablir la Monarchie ...mais comme celui-ci le disait très justement hier à Caen : "Tout cela est un peu pathétique, mais qu'est-ce que vous voulez qu'ils fassent d'autre, les pauvres ? Ils sont en train tout d'un coup de découvrir que le peuple français a une volonté qu'ils ne soupçonnaient pas", a-t-il poursuivi. "Et cette volonté, elle va aller jusqu'à son terme".
jeudi 1 mars 2007
Revue de la presse étrangère
La campagne française vue par la presse étrangère:
Interview de Alberto Toscano de l'hebdomadaire italien Panorama : « Le débat politique est ancré sur des vieux schémas. A part Bayrou qui montre un vrai courage et une recherche politique innovante, à droite et surtout à gauche, il y a des difficultés à rechercher des idées nouvelles. Les vrais nœuds du débat restent en suspens: la sauvegarde de l’Etat social, la réforme des retraites... Il y a un manque réel de propositions… Je relève notamment une impressionnante ambiguïté au sujet de l’Europe. »
"Suivez immédiatement mon conseil" recommande The Guardian: "Faites immédiatement le pari que le prochain président de la France portera le nom de François Bayrou.