C'est enfoncer un lieu commun que de le rappeler : Monsieur l'ex-Ministre de l'Intérieur ne peut plus aller dans les banlieues. Le mépris de ses habitants, la provocation permanente et l'apanage d'une France à deux vitesses expliquent sans doute tout cela. Pourtant, campagne oblige, il faut bien faire au moins acte de présence : va donc pour Meaux, la ville, loin d'être la plus compliquée de la banlieu parisienne, de son ami Coppé. Cependant, pour ne prendre aucun risque (on ne sait jamais par les temps qui courent), la présence policière est singulièrement renforcé : 326 policiers pour 100 jeunes dans la salle; deux bus de salariés menacés de licenciement bloqué en pleine campagne par des CRS. Tout va bien !
Franchement, c'est ça la France que vous voulez ? Celle où les libertés individuelles s'effacent devant l'arrogance de certains, celle où un candidat peut mobiliser, en toute impunité, les moyens de l'Etat.
Le 14 janvier 2007 il nous a dit "J'ai changé" et depuis un mois il s'évertue à nous convaincre que , comme il l'a écrit, il est "prêt à tout sacrifier à son ambition".
Alors, le 22 avril n'oubliez pas : le seul moyen de contrer cette extrème dérive droitière c'est de voter François BAYROU
Franchement, c'est ça la France que vous voulez ? Celle où les libertés individuelles s'effacent devant l'arrogance de certains, celle où un candidat peut mobiliser, en toute impunité, les moyens de l'Etat.
Le 14 janvier 2007 il nous a dit "J'ai changé" et depuis un mois il s'évertue à nous convaincre que , comme il l'a écrit, il est "prêt à tout sacrifier à son ambition".
Alors, le 22 avril n'oubliez pas : le seul moyen de contrer cette extrème dérive droitière c'est de voter François BAYROU
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